Lumière pour Vélo Électrique

Indispensables pour être vu, mais aussi pour bien voir dans l’obscurité, les éclairages pour vélo peuvent prendre de multiples formes. Feux à piles, à batterie, dynamos, il existe une solution adaptée à chaque profil de cycliste ! Vélobécane vous propose, dans cet article, de découvrir les différentes lumières pour vélos disponibles sur le marché.

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Quels types d’éclairages possibles pour un vélo électrique ?

La loi impose aux cyclistes plusieurs équipements :

  • Un catadioptre avant blanc,

  • Un catadioptre arrière rouge,

  • Des catadioptres orange latéraux,

  • Un catadioptre sur chaque pédale.



Pour rouler hors agglomération, elle dispose également que les cyclistes doivent porter un gilet haute visibilité. De plus, en cas de luminosité insuffisante due au mauvais temps, les articles R313-4, R313-25 et R313-25 indiquent que les personnes circulant à vélo doivent prévoir un feu de position avant jaune ou blanc, non clignotant, et un feu de position arrière rouge. Les contrevenants s’exposent à une amende de 38 euros, souvent abaissée à 11.

En pratique, ces lumières se déclinent de diverses manières. Les ampoules classiques restent faciles à installer et très économiques, mais leur puissance, mesurée en lumens, se révèle limitée et la qualité de l’éclairage demeure assez faible. Les ampoules halogènes représentent une alternative plus efficace, mais très énergivore. Les LED constituent sans doute la solution la plus appréciée. D’une durée de vie beaucoup plus longue, environ 100 000 heures, elles produisent beaucoup plus de lumière sans consommer autant que les anciennes technologies. On en trouve, par exemple, sur certains casques de vélos urbains.

Pour compléter, le cycliste peut porter, sur ses vêtements, des bandes réfléchissantes qui signalent sa présence. De petits éclairages clipsables existent aussi, faciles à installer sur un porte-bagages, un panier ou au niveau du guidon.

Choisir le mode d’alimentation de sa lumière de vélo

Plusieurs technologies permettent d’alimenter les lumières présentes sur un vélo : les piles, les batteries et les dynamos.

Les piles représentent, sans surprise, la solution la plus économique et la plus simple à mettre en place. Les éclairages fonctionnant ainsi demeurent compacts et légers, mais ne possèdent pas de voyant indiquant à l’utilisateur qu’ils vont manquer d’énergie. Le cycliste doit donc les surveiller attentivement pour ne pas se retrouver plongé dans l’obscurité. De ce fait, cette solution convient bien pour réaliser de petits trajets quotidiens en ville. 

Les feux à batterie rechargeable sont souvent bien plus durables, dotés d’une autonomie bien plus intéressante. Ils se chargent via un câble USB et offrent un éclairage plus puissant que les modèles à piles. Ils s'adaptent très bien aux itinéraires plus longs, incluant des portions de route moins éclairées.

Enfin, les feux à dynamo traditionnels se plaçaient sur le moyeu arrière et produisaient de la lumière dès lors que le cycliste pédalait. Fixés sur le moyeu des roues avant, les appareils modernes sont également couplés à des condensateurs permettant aux lampes de rester allumées même à l’arrêt. Là encore, ce type de produit convient très bien aux vélos circulant en zone urbaine et effectuant de petits trajets.

De leur côté, les vélos électriques disposent souvent de leurs propres feux intégrés, puisant leur énergie dans la batterie du véhicule.

 

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